0711/2007 · Film franco-italien de Marcel Camus (1970), sur une idée du colonel Rémy, haute figure de la France libre. Adaptation et dialogues : Marcel Jullian.
Cesoir, Bourvil plonge malgré lui dans la Deuxième Guerre Mondiale dans Le Mur de l'Atlantique (France 3), Zoé Saldana campe une tueuse vengeresse dans Colombiana (C8) et Steve McQueen est
LeMur de l'Atlantique, un film de Marcel Camus | Synopsis : Un restaurateur normand devient malgré lui un héros de la Résistance.En 1944, dans un petit village normand, le restaurateur
Lefilm est librement adapté du roman éponyme de Michel Bataille. Il existe en deux versions, une version française où Bourvil s'exprime en français, les autres acteurs étant doublés ; et une version internationale où Bourvil s'exprime en anglais avec un accent prononcé. Les deux versions diffèrent légèrement en termes de montage cinématographique, ainsi que dans les
LeMur de l'Atlantique est un film franco-italien, réalisé par Marcel Camus et sorti en 1970. Il s'agit de l'avant-dernier film de Bourvil, qui meurt la même année. Durant la Seconde Guerre mondiale, sous l’occupation, peu avant la bataille de Normandie, Léon Duchemin, un paisible restaurateur que sa femme a quitté vingt ans auparavant, vit en compagnie de Maria, sa sœur
GwJrZd. InfosDiffusionsCastingRésuméEn 1944, en Normandie, Léon Duchemin est un paisible restaurateur qui mène une vie sans histoire entre une soeur farfelue et une fille très indépendante. Il compte parmi ses habitués une clientèle très variée, qui va du lieutenant Friedrich, ordonnance de Rommel, à Armand, le chef clandestin de la Résistance locale, en passant par une faune de petits trafiquants du marché noir. Duchemin semble tellement à l'abri des aléas de la guerre que les mauvaises langues laissent entendre qu'il serait peut-être bien collaborateur. Or, un soir, Jeff, un sympathique pilote de la RAF, tombe du ciel droit sur sa maison, et plus précisément dans le lit de la jolie JulietteGenreFilm - ComédieAnnée de sortie1970AvecBourvil, Jean Poiret, Peter McEnery, Sophie Desmarets, Terry Thomas, Sarah Franchetti, Marcel Camus, Marcel JullianInfos supplémentaires—Avis de la rédactionUne pléiade de joyeux comédiens, à califourchon sur un mur cocardier. Bourvil dans son avant-dernier des internautes 89Vous avez aimé ce programme ?
News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Blu-Ray, DVD Photos Musique Secrets de tournage Récompenses Films similaires Réalisateurs Scénaristes Dialoguiste Marcel Camus Scénariste Jacques Rémy Dialoguiste Marcel Jullian Acteurs et actrices Soundtrack Compositeur Claude Bolling Production Producteur exécutif Georges de Beauregard Equipe technique Directeur de la photographie Alain Levent Ingénieur du son Jean-Pierre Ruh Monteur Andrée Camuseix Cascadeur Rémy Julienne 1er assistant réalisateur Alain Corneau Sociétés Production Fono Roma Production Société Nouvelle de Cinématographie SNC Production Films Georges de Beauregard
Le Mur de l’Atlantique, qui fête ses 50 ans, est le dernier long-métrage dans lequel apparaît Bourvil. Saviez-vous que ce tournage avait été un véritable calvaire pour le comédien, rongé par la maladie ? Le Mur de l'Atlantique sort en salles le 14 octobre 1970. Le film de Marcel Camus est un événement car il s'agit du dernier long-métrage avec Bourvil en vedette. Le comédien est décédé quelques semaines plus tôt, le 23 septembre 1970, après avoir lutté contre un cancer de la moelle osseuse, la maladie de Kahler. Dans cette comédie sur fond de Seconde Guerre mondiale, Bourvil incarne Léon Duchemin, un naïf et gentil restaurateur. Ses clients sont allemands, résistants et trafiquants. Le pauvre devient malgré lui résistant quand un pilote de la abattu trouve refuge chez lui et quand il dérobe aux services d'Hitler les plans de ses missiles V1. Le tournage du Mur de l'Atlantique se déroule au printemps 1970. Bourvil, qui avait déjà dû se battre contre la maladie pour terminer le polar de Melville, Le Cercle Rouge sorti le 1er octobre 1970, est très affaibli et amaigri. Quelques temps auparavant, il avait longuement hésité avant d'accepter de se lancer dans un nouveau tournage tant il avait souffert sur celui de Jean-Pierre Melville. La star de la comédie française affiche en effet des sourires de façade. Il cache sa maladie à son entourage et au public, livrant bataille seul contre le cancer. Malgré des séances de chimiothérapie et radiothérapie, le mal continue de ronger inexorablement son corps. Il consulte tous les médecins possibles mais rien n'y fait, Bourvil est condamné. Pour soulager ses souffrances, l'artiste multiplie les piqûres de Morphine et termine tant bien que mal Le Cercle Rouge. Il utilise ce même antidouleur très puissant sur le plateau du Mur de l'Atlantique. Droit dans ses bottes, sans jamais se plaindre une seule fois, Bourvil assure ses scènes avec un professionnalisme exemplaire, même les plus éprouvantes séquences, comme une bagarre dans un bistrot. Sachant que l'acteur endure un véritable calvaire, le cinéaste Marcel Camus fait en sorte d'alléger certaines scènes pour lui faciliter un peu la tâche. La Cuisine au beurre sur C8 pourquoi Bourvil a-t-il mal vécu sa collaboration avec Fernandel ? En mai 1970, l'inoubliable complice de Louis de Funès accepte une interview pour le journal télé, affichant de grands sourires, malgré ses traits tirés. Quand le journaliste lui demande si sa vie le rend heureux, Bourvil répond ceci, avec pudeur et élégance "J’ai une bonne santé, je fais un métier qui me plaît, j’ai deux enfants formidables, une femme qui est une mère extraordinaire… que voulez-vous de plus ? De l’argent, j’en ai assez pour vivre. Quand je serai vieux, je n’aurai rien à demander à personne. Si avec ça, je n’étais pas heureux, je serais à gifler !" Le comédien continue chaque soir après le tournage de suivre un lourd traitement contre son cancer à l'hôpital de Villejuif, luttant jusqu'au bout. André Raimbourg dit Bourvil s'éteint finalement à Paris le 23 septembre 1970 à l'âge de 53 ans. Il aurait dû tourner une 3ème fois avec Louis de Funès dans La Folie des Grandeurs de Gérard Oury. Il sera remplacé par Yves Montand. Lui qui a toujours dissimulé son affliction a eu cette très jolie phrase, qui prend tout son sens quand on sait combien il souffrait Vous savez l'oeil, on est trahis par son oeil, surtout dans les gros plans au cinéma. Si vous avez un oeil triste, ça ne pardonne pas. Cette déclaration d'une humilité bouleversante est typique de Bourvil, un artiste simple et proche du peuple, qui nous manque beaucoup aujourd'hui. LES GAFFES DE BOURVIL ET DE FUNÈS
Le Mur de l'Atlantique est un film franco-italien, réalisé par Marcel Camus et sorti en 1970. Il s'agit de l'avant-dernier film de Bourvil, qui meurt la même la Seconde Guerre mondiale, sous l’occupation, peu avant la bataille de Normandie, Léon Duchemin, un paisible restaurateur que sa femme a quitté vingt ans auparavant, vit en compagnie de Maria, sa sœur farfelue et de sa fille Juliette, devenue une jeune femme. Ses clients représentent toute la société du village, allant du chauffeur de Rommel, aux résistants et aux trafiquants du marché soir, durant un raid aérien, Jeff, un aviateur britannique dont l’avion a été abattu, tombe quasiment dans la chambre de Juliette. Le lendemain, Léon qui se trouvait alors chez Charlus, l'artisan chargé de repeindre sa devanture, est pris pour le peintre en question et est emmené à la Kommandantur, où on a un travail similaire à lui proposer. Léon emporte par inadvertance un plan secret concernant les fortifications du Mur de l'Atlantique. Ayant fait la connaissance de Jeff qui comprend l’intérêt de la découverte faite par Léon, ce dernier est donc obligé de joindre la Résistance qui fait passer les deux hommes en Angleterre. Léon se retrouve alors dans un camp d'entraînement de l'armée britannique, sous les ordres de Jeff lui-même. Il ne sait pas encore que sa fille Juliette est enceinte et que l’aviateur va devenir son gendre.
News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Blu-Ray, DVD Photos Musique Secrets de tournage Récompenses Films similaires note moyenne 3,2 982 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné Votre avis sur Le Mur de l'Atlantique ? 83 critiques spectateurs 5 7 critiques 4 14 critiques 3 18 critiques 2 28 critiques 1 12 critiques 0 4 critiques Trier par Critiques les plus récentes Critiques les plus utiles Par les membres ayant fait le plus de critiques Par les membres ayant le plus d'abonnés Trop jeune pour être agacé par ce français moyen qui devient héros malgré lui j'avais adoré la romance en parallèle a cause de ma nostalgie peut-être. Ce qui m'agace c'est cette comparaison systématique avec La grande vadrouille et Le Mur de l'Atlantique qui souffre de ce rapprochement inapproprié et je ne suis pas sûre qu'il y ait tant de points communs dans les deux films. J'y vois plus de différences que de ressemblances à commencer avec le duo Bourvil et Poiret. Augustin Bouvet n'a rien à voir avec Stanislas Lefort il n'agit pas avec les mêmes intentions que Armand le manipulateur. Bon je m'arrête sinon je devient intarissable sur ce manque de reconnaissance pour Bourvil... Très bon divertissement, qui arrive à nous faire croire que l'occupation, la résistance et la guerre fut presque une partie de plaisir, une belle galéjade. C'est vous dire la qualité du scénario et de ses voir par tous, sans exception. Un classique que toute personne née dans les années 1970 a l'impression d'avoir vu mille fois. Curieusement je me suis aperçu que je ne connaissais pas si bien que ça Le Mur De L'Atlantique. Confondant parfois avec La Grande Vadrouille. Bourvil dégage, même 50 ans après la sortie du film, une présence qui fascine le spectateur. Le scénario manque cependant de réalisme et certains personnages sont trop caricaturaux, en particulier les Allemands. Le traitement de la Résistance est intéressant, montrant qu'en ces temps troublés, ceux qui se présentaient comme résistants n'étaient pas forcément les plus actifs, et inversement ceux qui, par leur inaction pouvaient passer pour des collabos, pouvaient s'avérer plus efficaces dans la lutte contre l'ennemi. A revoir aussi pour se rappeler comment les histoires amoureuses pouvaient se passer dans les années 1940. durant la seconde guerre mondiale un épicier plutôt sympathique tranquille et sans histoire , se retrouve mêler malgré lui a la résistance quand un parachutiste anglais atteris dans son commerce et c'est la que commence les rebondisment et surtout les ennuie pour lui est son entourage. Une comédie sur la guerre mener par bourvil pour qui il s'aggie de sont avant dernier film avant sont décès, mais le film qui certes a plutôt une bonne histoire est captivante mais qui n'est malheureusement peu drôle pour cause on doit rire ou 2 fois seulement ce qui est extrêment faible pour une comédie et certaine scène sont sur joué par certain ou certaine mais le film est pas mal en temps que drame ou film de guerre mais comédie ce n'est pas le cas Les gags retombent tous à plat. Dommage pour ce pauvre Bourvil qui était fort malade. C'est son dernier film mais vraiment pas le meilleur. Il mourra peu de temps après d'un est de plus pleine d'incohérences. Je ne l'avais pas vu quand j'étais jeune. Si Bourvil n'y avait pas joué j'aurais arrêté de le regarder après 10 minutes .. Sorte de Grande Vadrouille à rabais s’appuyant uniquement sur un Bourvil affaibli et à quelques semaines de son décès, les gags sont quelconques et l’histoire un peu tiré par les cheveux. Même je reconnais un énorme talent à Bourvil, le film en soi reste très commun et aurait mérité un meilleur traitement. Déjà , la scène d'introduction est un peu longue puis après on constate que ce film comique sur la Seconde Guerre Mondiale ne fait pas le poids face au culte de La Grande Vadrouille. Reste quand même Bourvil dans l'un de ces derniers rôles. C'est quand même moins bien que la Grande Vadrouille. Parce que Jean Poiret est moins drôle que De Funès. Mais surtout le scénario est moins bon et les gags plus grotesques. Le mur de l'Atlantique est le dernier film tourné par Bourvil avant de nous quitter. Ce film surfé énormément avec l'effet la grande vadrouille. On prends un plaisir de revoir Bourvil mais le film est assez plat et scène très peu drôle .. heureusement que Bourvil relève ce scénario pauvre. Des conséquences irréel dire grotesque .. avec le temps, ce film vieillit vraiment très mal. Petit comédie Un chef d'œuvre d'humour avec Bourvil et Jean Poiret sur la seconde guerre mondiale. Un très bon film humoristique. Ce film n'égale pas les autres films avec Bourvil sur la deuxième guerre mondiale, un humour moins flagrant, une histoire bourrée de clichés, un manque de maîtrise dans la cohérence et le déroulé avec des scènes d'action peu attrayantes. C'est le dernier film de Bourvil comme premier rôle, atteint d'un cancer il décède même avant la sortie du film. Il est cependant à peu près égal à lui même et reste regardable et plaisant pour ceux qui apprécient le comédien et les autres tel Jean Poiret présents dans ce film. Quel navet, mais quel navet ! Mise en scène brouillonne, acteurs caricaturaux, Bourvil hagard et fatigué et pour cause de maladie histoire idiote... il n'y a rien mais rien pour sauver ce film. On setn tellement les prioducteurs derrière qui ont voulu faire une Grande Vadrouille bon marché ! C'est triste dans tous les sens du terme. Comédie française sympathique avec le regretté Bourvil, excellent dans son rôle et une pléthore de comédiens des années 1970 qui sent la France franchouillarde. Le scénario n’est pas vraiment palpitant mais les quelques situations comiques ont le mérite de faire encore sourire, plusieurs décennies après sa première projection. Ce n’est pas du grand cinéma et le film n’atteint pas les sommets de la grande vadrouille ». Il reste cependant regardable, notamment en famille. Spectacle désolant — un des pires films du cinéma français. Les gags tombent à plat, le ton sonne épouvantablement faux et Bourvil, à contre emploi, livre une prestation inhabituellement exécrable. A éviter. Une sorte de Grande Vadrouille du pauvre sans l'inventivité du film de Gérard Oury et sans Louis de Funès... Bourvil est à dire vrai un acteur des plus sympathiques qui dans certains cas avec le concours d'acteurs émérites a su apporter le petit quelque chose de plus mais il faut reconnaître que son éternel rôle de benêt râleur tombe ici à réalisation et le scénario vont droit dans le mur et même le ridicule omniprésent ne parvient pas à nous arracher le moindre sourire. On s'ennuie beaucoup dans cette comédie dérisoire et générique, aussi stupide que la 7ème Compagnie c'est dire l'outrage et le niveau, très bas. Un film de plus à ranger dans le placard qui déborde des pires nanars au monde. Les meilleurs films de tous les temps Meilleurs films Meilleurs films selon la presse
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