Pourchoisir d’ĂȘtre ce que l’on est, il faut d’abord savoir ce que l’on veut ĂȘtre, connaitre ses dĂ©sirs, ses ambitions et ensuite ĂȘtre capable de se reconnaitre, d’accĂ©der Ă  une certaine Pourchoisir d’ĂȘtre ce que l’on est, il faut d’abord savoir ce que l’on veut ĂȘtre, connaĂźtre ses dĂ©sirs, et ensuite ĂȘtre capable de se reconnaĂźtre, d’accĂ©der Ă  une certaine Laqualification de « subversif », que nous avons utilisĂ©e plus haut, n’est-elle pas dĂ©jĂ  suffisamment justifiĂ©e quand on compare le processus normal qui consiste Ă  devenir consciemment musulman puis Ă  choisir librement ensuite une tarĂźqah parmi toutes celles qui se prĂ©sentent et celui qui consiste Ă  dĂ©terminer le choix de la tarĂźqah avant mĂȘme de « devenir choisiton d'ĂȘtre celui qu'on est? If this is your first visit, be sure to check out the FAQ by clicking the link above. You may have to register before you can post: click the register link above to proceed. To start viewing messages, select the forum that you want to visit from the selection below. + LapremiĂšre chose Ă  faire lorsqu’on prĂ©voit de choisir son dressing, c’est de faire l’inventaire de tout ce qu’on souhaite y ranger.ProcĂ©dez par catĂ©gories de vĂȘtements pour dĂ©terminer quelle taille de penderie est nĂ©cessaire (et quelle hauteur, diffĂ©rente pour les robes, les manteaux et les chemises) et de combien d’étagĂšres ou de tiroirs vous avez besoin. gfl0w. Bonjour Ă  tous, je suis en ce moment mĂȘme en train de faire ma dissertation de philo. Ma prof m'a dit que c'est important de bien bosser ça car ça peut nous entraĂźner au bac. Mais j'ai un problĂšme sur mon plan je ne trouve pas le grand plan I] Nous sommes la seule personne qui puisse choisir d'ĂȘtre celui qu'on est. Notre identitĂ© est constituĂ©e par notre jugement donc la partie qui rĂ©pond oui Ă  la question II] Le dĂ©terminisme nous sommes influencĂ©s par notre sociĂ©tĂ© et les avis extĂ©rieur au notre donc en gros la partie nonIci, il me manque le grand III. Avez-vous des suggestions Ă  me faire? Merci Les choix que nous sommes tous amenĂ©s Ă  faire sont chacun plus ou moins ardus, mais lorsque l'on se demande si nous choisissons d'ĂȘtre celui que nous sommes, la rĂ©ponse est d'autant moins Ă©vidente. En effet, l'on pourrai penser que la conscience permettrai de faire ce choix et donc d'affirmer " je choisis celui que je suis". A contrario, l'on peut ĂȘtre convaincu que la conscience, seule, ne permet pas une telle affirmation, voir mĂȘme que ce choix est inenvisageable car finalement, peut -ĂȘtre ne choisissons nous pas qui nous sommes et qui nous devenons. On hĂ©site donc, confrontĂ© Ă  cette question, Ă  prĂ©tendre "oui j'ai choisis celui que je suis" ou a l'inverse " non je n'ai pas fait ce choix". PremiĂšre partie Le fait de choisir implique une notion de libertĂ© ; comme l'affirmait Bergson " choisir est un acte qui nous est rendu possible lorsque nous sommes libre de toutes contraintes liĂ©es a ce choix". Et ĂȘtre libre est possible lorsque ce choix ne concerne que nous, qu'il n'empiĂšte pas sur la libertĂ© d'autrui. Par ailleurs, la conscience est ce qui nous permet de choisir. En effet, nous avons conscience de qui nous sommes par les actes que nous accomplissons, on peut donc penser qu'il nous est possible de changer. Si nous avons conscience que ce que nous faisons est mal, immorale, inappropriĂ©...libre a nous de changer de comportement, d'attitude. De plus, la conscience est une condition de l'identitĂ© et cette derniĂšre se construit peu Ă  peu nous Ă©voluons, nous changeons! Le fait que ce changement soit progressif nous permet d'avoir conscience de ce que nous rĂ©alisons, avons rĂ©alisĂ© et permet mĂȘme une anticipation Ă  plus ou moins long terme. Nous pouvons donc, par exemple, prendre conscience que nous ne sommes pas un modĂšle et se dire qu'il est nĂ©cessaire de changer cela ; si je suis un escroc, j'ai conscience que les actes que j'accomplis sont immoraux, et que si je ne fait rien pour changer qui je suis alors je resterai un escroc. Mais si j'en ai pris conscience et que cela ne nous conviens pas alors l'attitude que j'ai vis-a-vis de mon identitĂ© peut changer. En outre, la conscience me permet de choisir qui je deviens et donc qui je suis. Mais la conscience seule, nous permet-elle de changer?Nous pouvons avoir conscience de qui nous sommes, ne pas l'accepter mais ne pas pouvoir faire le choix de changer...ne pas pouvoir choisir qui nous sommes donc... DeuxiĂšme partie Un choix, souvent, ne relĂšve pas AccĂ©dez Ă  la suite de ce contenu AccĂšdez aux contenus premium de 20aubac gratuitement en proposant votre propre corrigĂ©, ou en obtenant un accĂšs payant. ï»ż403 ERROR The Amazon CloudFront distribution is configured to block access from your country. We can't connect to the server for this app or website at this time. There might be too much traffic or a configuration error. Try again later, or contact the app or website owner. If you provide content to customers through CloudFront, you can find steps to troubleshoot and help prevent this error by reviewing the CloudFront documentation. Generated by cloudfront CloudFront Request ID veFUuY1Il4b6U6lQ7t6LGocAQ9-_RG1X_ZPmkPVXejtq7meoXrsiOw== 403 ERROR The Amazon CloudFront distribution is configured to block access from your country. We can't connect to the server for this app or website at this time. There might be too much traffic or a configuration error. Try again later, or contact the app or website owner. If you provide content to customers through CloudFront, you can find steps to troubleshoot and help prevent this error by reviewing the CloudFront documentation. Generated by cloudfront CloudFront Request ID MZRAtOnyHTQU-O2qlwkbYDm2ZQcvTpyQhREZUot8EMHW_ak-B6k7mQ== Introduction Choisit-on d'ĂȘtre celui qu'on est ? Une telle question pourrait sembler absurde dans la mesure oĂč l'on ne voit pas qui d'autre que soi serait Ă  mĂȘme de dĂ©cider de ce qu'il est. Pourtant, ce que l'on est, c'est-Ă -dire son essence et sa manifestation dans l'action, son existence, peut ĂȘtre influencĂ©, voire dĂ©terminĂ©, par une sĂ©rie de causes extĂ©rieures, Ă  commencer par l'Ă©ducation qui façonne en fonction de critĂšres sociaux, gĂ©ographiques, religieux
 Ce que l'on est physiquement est aussi conditionnĂ© par son hĂ©ritage gĂ©nĂ©tique. Comment l'individu peut se constituer sa propre identitĂ© alors que sa libertĂ© semble contredite par une sĂ©rie de dĂ©terminismes ? Si l'on peut Ă©tablir dans un premier temps que le propre de l'homme est justement d'ĂȘtre un sujet, c'est-Ă -dire un ĂȘtre capable de juger et de s'autodĂ©terminer, un ĂȘtre responsable de par sa libertĂ©, on constate cependant qu'il est aussi soumis Ă  des dĂ©terminismes. On se demandera alors si l'on peut choisir d'ĂȘtre celui que l'on est malgrĂ© la causalitĂ© extĂ©rieure. 1. L'Ă©vidence d'ĂȘtre soi A. Être soi, c'est avoir une identitĂ© Info Il est possible d'approfondir cette notion d'identitĂ© en consultant le repĂšre identitĂ©/Ă©galitĂ©/diffĂ©rence. Pour choisir d'ĂȘtre ce que l'on est, il faut d'abord savoir ce que l'on veut ĂȘtre, connaĂźtre ses dĂ©sirs, et ensuite ĂȘtre capable de se reconnaĂźtre, d'accĂ©der Ă  une certaine conscience de soi. Être soi et avoir conscience de soi constituent le principe de l'identitĂ©. Par dĂ©finition, l'identitĂ© est ce qui demeure identique Ă  travers les changements du temps, Ă  travers les diffĂ©rentes reprĂ©sentations que je me fais ou que les autres se font de moi. L'identitĂ© n'est pas seulement la marque de mon ipsĂ©itĂ© et de mon unitĂ©, mais aussi de mon unicitĂ©, c'est-Ă -dire le fait d'ĂȘtre unique, diffĂ©rent des autres. Être soi n'est donc pas seulement exister selon ses aspirations mais ĂȘtre capable de se distinguer des autres. B. Être soi, c'est ĂȘtre un sujet moral et juridique, c'est faire des choix Attention Ici l'Ă©tymologie de responsabilitĂ© est intĂ©ressante car elle vient du latin respondeo, rĂ©pondre, qui ramĂšne Ă  l'idĂ©e de rĂ©pondre de ses actes devant autrui et la loi. À ce titre, l'homme se dĂ©finit comme sujet un ĂȘtre capable de juger, un animal rationnel », selon une dĂ©finition classique en philosophie, et par lĂ , un ĂȘtre capable de juger ses actions. L'homme n'est pas seulement sujet de la connaissance mais sujet de l'action. Il est un sujet moral et juridique. Il peut donc se fixer les fins de ses actions et Ă©tablir par sa rĂ©flexion les moyens d'y parvenir. C'est pour cela que le sujet moral est un sujet juridique, responsable devant la loi, c'est-Ă -dire qui rĂ©pond » de ses actes. C. L'homme existe selon son essence rationnelle Il semble alors Ă©vident que l'on choisit de faire ce que l'on fait et dans la mesure oĂč ce que l'on fait exprime ce que l'on est, on choisit d'ĂȘtre » au sens d'exister », de s'insĂ©rer dans la rĂ©alitĂ©. Être ce que l'on est, consiste ici Ă  exercer sa qualitĂ© de sujet en portant un jugement dĂ©terminant sur le monde et sur soi-mĂȘme. L'existence de l'homme dans le monde, son action sur la rĂ©alitĂ©, est l'expression de sa nature rationnelle, l'Ɠuvre de sa capacitĂ© Ă  user de sa raison. Aristote dans L'Éthique Ă  Nicomaque attribue Ă  l'homme prudent la capacitĂ© Ă  dĂ©libĂ©rer afin d'ajuster au mieux les moyens aux fins de son action. Ainsi il semble que l'on choisisse d'ĂȘtre ce que l'on est, que l'on existe et que l'on construise son identitĂ© en mettant en Ɠuvre ce qui constitue l'essence de l'homme, la raison, afin de faire des choix. En ce sens, on ne peut que choisir d'ĂȘtre soi, d'ĂȘtre ce que l'on est. [Transition] Pourtant, ce que l'on est n'est pas toujours l'expression de notre volontĂ©. Nous avons une histoire et ce que l'on est peut rĂ©sulter d'un parcours, d'une Ă©ducation qui nous a Ă©tĂ© en partie imposĂ©e par autrui. Peut-on alors ne pas choisir d'ĂȘtre ce que l'on est ? 2. À quelles conditions peut-on choisir d'ĂȘtre celui qu'on est ? A. Les diffĂ©rents dĂ©terminismes et l'illusion du libre-arbitre Il est aussi Ă©vident que l'on ne choisit pas quand et oĂč l'on naĂźt. On porte d'emblĂ©e en nous la marque de notre origine et de notre histoire. La psychanalyse avec Freud insiste sur le rĂŽle de la toute petite enfance sur la constitution de la personne. Marx et les sociologues insistent davantage sur le dĂ©terminisme Ă©conomique et social ĂȘtre issu d'une certaine catĂ©gorie socio-professionnelle engage un certain type de comportement, une certaine maniĂšre de penser. MĂȘme physiologiquement, le dĂ©terminisme biologique et gĂ©nĂ©tique rappelle que l'on ne naĂźt pas tous avec la mĂȘme apparence, avec la mĂȘme santĂ©, avec les mĂȘmes performances physiques
 L'homme ne peut-il Ă©chapper aux lois naturelles ? Il ne peut ĂȘtre, selon Spinoza dans L'Éthique, un empire dans un empire », une exception. Le libre-arbitre ne serait qu'une illusion comme une pierre que l'on aurait lancĂ©e dans les airs et qui prendrait conscience de son mouvement, les hommes se croient libres Ă  tort simplement parce qu'ils ont conscience de leurs actions mais qu'ils ignorent les causes qui les dĂ©terminent. B. La possibilitĂ© d'ĂȘtre ce que l'on est malgrĂ© les dĂ©terminismes Affirmer que l'homme n'est pas libre d'ĂȘtre celui qu'il est parce qu'il serait le jeu de tous les dĂ©terminismes pose le problĂšme de sa responsabilitĂ©. En effet, si l'homme agit selon des lois qui s'imposent Ă  lui, alors il est comme un pantin articulĂ©, il perd sa qualitĂ© de sujet. Il ne peut plus faire l'objet d'un jugement moral et juridique car on prĂ©suppose alors qu'il n'a pas le choix. Or si le dĂ©terminisme existe c'est un prĂ©supposĂ© nĂ©cessaire de la science qui Ă©tablit des lois de la nature, il n'est peut-ĂȘtre pas absolu. En ce sens, Descartes parvient dans ses MĂ©ditations mĂ©taphysiques Ă  concilier l'existence de chaĂźnes de causalitĂ© et la libertĂ© humaine, dans la mesure oĂč ĂȘtre libre serait le fait d'agir en connaissance de cause. Le plus haut degrĂ© de la libertĂ© ne serait pas la libertĂ© d'indiffĂ©rence, celle qui consiste Ă  n'ĂȘtre dĂ©terminĂ© par rien, mais la libertĂ© Ă©clairĂ©e qui consiste Ă  appliquer sa volontĂ© sur des idĂ©es claires et distinctes que lui prĂ©sente l'entendement. On peut alors choisir ce que l'on est grĂące Ă  la connaissance et la maĂźtrise des options mĂȘme limitĂ©es qui se prĂ©sentent Ă  nous. C. L'homme reste toujours libre d'affronter les obstacles Choisir d'ĂȘtre celui qu'on est ne consisterait donc pas Ă  ĂȘtre au-delĂ  des dĂ©terminismes, Ă  ĂȘtre vierge de toute causalitĂ© extĂ©rieure, car l'homme est toujours et dĂ©jĂ  dans une situation » donnĂ©e selon Sartre, mais Ă  ĂȘtre capable de surmonter les obstacles, de se libĂ©rer d'une essence ou d'une Ă©tiquette que le monde et autrui tendent Ă  imposer. Dans L'existentialisme est un humanisme, Sartre explique que l'homme existe d'abord, et qu'il se dĂ©finit ensuite. Inscrit dans un perpĂ©tuel devenir, il peut constamment se redĂ©finir, il peut choisir d'ĂȘtre autre que ce qu'il a Ă©tĂ© ou cru ĂȘtre. Seuls ses propres actes le dĂ©terminent. Croire l'inverse serait faire preuve de mauvaise foi en renonçant Ă  sa libertĂ© et Ă  ses responsabilitĂ©s. L'homme en perpĂ©tuelle libĂ©ration, en perpĂ©tuelle redĂ©finition serait en rĂ©alitĂ© celui qui n'a pas d'essence dĂ©finitive et qui constamment choisit d'ĂȘtre celui qu'il est, mĂȘme lorsqu'il refuse de changer par mauvaise foi, il n'a pas d'excuse », il est condamnĂ© » Ă  ĂȘtre libre. Conclusion Conseil Veillez Ă  reprendre les diffĂ©rentes thĂšses dĂ©veloppĂ©es tout en montrant que leur articulation s'Ă©claire par l'analyse conceptuelle par exemple ici celui qu'on est » comme animal rationnel de la premiĂšre partie ne se confond pas avec l'individu singulier de la seconde partie. Ainsi on choisit d'ĂȘtre celui que l'on est au sens oĂč notre identitĂ© se constitue par des choix issus de notre raison au cƓur de notre essence. Mais ici ce que l'on est se ramĂšne Ă  la dĂ©finition d'un animal rationnel qui ne rend pas compte des particularitĂ©s de celui » qui est. Or, l'individu est constituĂ© par une histoire qui ne dĂ©pend pas de lui. Le dĂ©terminisme agit sur l'homme et fait de lui ce qu'il est devenu. Pourtant, on ne peut nier sa libertĂ©, sa capacitĂ© Ă  faire des choix le concernant sous peine de nier sa qualitĂ© de sujet. L'homme choisit d'ĂȘtre celui qu'il est, non pas parce qu'il pourrait faire tout ce qu'il veut, mais parce qu'il est capable de comprendre le dĂ©terminisme et de surmonter les obstacles.

choisit on d ĂȘtre celui qu on est